Mercure dans les poissons : soyons clairs

Mercure dans les poissons : soyons clairs

Pour ceux qui consomment du poisson, la peur d'être empoisonné par le mercure elle est directement proportionnelle aux recommandations émises de temps à autre par les organismes officiels en matière de nutrition et au contrôle et à la provenance dangereux des captures.


Voici comment vous protéger et être prudent.

 

Comment les poissons contaminent

Le poisson est contaminé par l'élément mercure pour 2 raisons principales :

  1. le premier peut être défini comme "naturel", c'est-à-dire lié à des mécanismes de "lessivage" et l'érosion des sols par l'eau de mer; il est clair que là où les minéraux ont une plus grande richesse en mercure, dans ces zones la mer présentera une concentration plus élevée ;
  2. la deuxième raison est au contraire complètement "contre-nature", liée à processus polluants dans les usines, les industries et finalement l'homme ce déversement eaux contaminées dans la mer.

Les animaux marins qui entrent en contact avec cette substance l'assimilent et la transforment en méthylmercure, présents en eux à des concentrations diverses, qui diffèrent selon la période de vie et la position dans leur chaîne alimentaire.



Le méthylmercure du poisson devient ainsi du mercure biodisponible pour l'homme qui, en consommant du poisson contaminé, le diffuse dans ses organes et tissus, où, notamment à niveau nerveux, peut exercer son action toxique.

 

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Limites de toxicité du mercure

Japon, milieu des années XNUMX : ici de nombreuses personnes ayant consommé du poisson d'une zone marine contaminée par une industrie sont tombées malades et ont manifesté lésions neurologiques.


Depuis lors, des mesures sérieuses ont été prises et il a été décidé d'organiser des procédures de contrôler les aliments et imposer des limites de tolérance au mercure. Ces limites proviennent de 0,5 et 1 mg de mercure par kg de poisson.

Plus récemment, la FDA (Food and Drug Administration) et l'EPA (Enviromental Protection Agency) ont émis des recommandations pour la consommation de poisson pendant la grossesse, l'allaitement et pour le bébé. Des recommandations qui vont de pair avec le bon sens et l'élaboration d'une alimentation équilibrée.

L'indication générale est en fait celle de consommer environ 225-340 grammes de poisson par semaine, l'équivalent de deux ou trois portions. Les agences américaines en particulier recommandent éviter les poissons à forte teneur en mercure possiblecomme requin, maquereau royal et espadon, limitant également la consommation de thon blanc.


Parmi les poissons qu'ils contiennent moins de mercure on vous donne le cabillaud, tilapia et poisson-chat. Il faut également se rappeler qu'un thon ou un espadon, étant plus en aval de la chaîne alimentaire, aura une concentration de mercure plus élevée que la sardine.

 

Sécurité et nutrition

Grâce aux contrôles existants, on aurait tendance à dire que le poisson sur le marché est exempt de dangers liés au mercure, car ils viennent systématiquement vérifié avant de subir le traitement.


Un danger pourrait plutôt provenir de la consommation de poisson provenant de marchés illégaux, dont l'origine n'est pas clairement certifiée, ou pêché dans des zones particulièrement polluées.

 

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